Les actions anti-cyberattaque impliquent souvent un contrôle des données personnelles des salariés par leur employeur. Cette surveillance doit cependant être responsable et respectueuse des principes fondamentaux du droit du travail.
Les actions anti-cyberattaque impliquent souvent un contrôle des données personnelles des salariés par leur employeur. Cette surveillance doit cependant être responsable et respectueuse des principes fondamentaux du droit du travail.
Selon une étude récente, 98 % des start-ups Fintech sont cyber-vulnérables, en particulier en raison de leur non-conformité aux règles du RGPD (Règlement général européen sur la protection des données