Badara Niang

Deloitte Afrique

Badara est Managing Partner de Deloitte Sénégal. Il est un professionnel de la fiscalité et dirige les activités fiscales dans la région de l’Afrique de l’Ouest francophone. Badara a plus de 25 ans d’expérience en services de conseil fiscal, dont 8 ans en tant que responsable fiscal dans une entreprise du FTSE 100 basée à Londres. Son expérience en entreprise lui a permis de développer une solide compréhension des dynamiques et des besoins des affaires.

Badara est Expert Fiscal Agréé, membre des Experts et Évaluateurs Agréés du Sénégal et titulaire d’un LLM en Droit International des Affaires de l’Université de Bradford (Royaume-Uni) avec une spécialisation en Commerce International et en Résolution Alternative des Litiges, ainsi que d’un Master en Droit des Affaires et Fiscalité de l’Université de Dakar.

Deloitte Afrique

Badara est Managing Partner de Deloitte Sénégal. Il est un professionnel de la fiscalité et dirige les activités fiscales dans la région de l’Afrique de l’Ouest francophone. Badara a plus de 25 ans d’expérience en services de conseil fiscal, dont 8 ans en tant que responsable fiscal dans une entreprise du FTSE 100 basée à Londres. Son expérience en entreprise lui a permis de développer une solide compréhension des dynamiques et des besoins des affaires.

Badara est Expert Fiscal Agréé, membre des Experts et Évaluateurs Agréés du Sénégal et titulaire d’un LLM en Droit International des Affaires de l’Université de Bradford (Royaume-Uni) avec une spécialisation en Commerce International et en Résolution Alternative des Litiges, ainsi que d’un Master en Droit des Affaires et Fiscalité de l’Université de Dakar.

France

Afrique : panorama 2020 de l’actualité juridique et fiscale

Par Yves Madre, Grégoire Chaste, Ali Benbouzid, Damien Jacquart, Noël-Faustin Kouamé, Julien Leyrit, Vincent Martin, Abdou KHADRE  Mboup, Thomas Mugneret-Victorion, Badara Niang, Marie Petit, Sandrine Soppo Priso, Bara Thiam, Desk Afrique Deloitte Société d’Avocats /

L’Afrique a su s’adapter au contexte économique et mettre en place des mesures face au Coronavirus, comme nous l’avons indiqué dans nos publications du mois d’avril et mai dernier. Cependant